Ainsi meurt le Congo

Je pense vous l'avoir déjà dit dans un de mes anciens post, c'est lorsqu'une cause nous touche de très près que nous sommes prête à la défendre bec et ongle, on y met sa force et on laisse parler son âme.
L'absence de visibilité dans les médias français de ce qui se passe actuellement au Congo-Kinshasa me révolte. Je trouve injuste que l'opinion publique garde le silence face à la douleur de ces femmes, ces enfants et ces hommes qui aspirent à vivre dans la paix et la dignité.

Quand il s'agit de dénigrer les états africains et les pantins qui les dirigent ( oui nous savons tous que nos présidents élu démocratiquement au suffrage universel le sont après l'accord de l'Elysée ) toute la presse s'en donne à coeur joie, mais lorsqu'un génocide prend forme sous les yeux de tous, la presse qui d'ordinaire ne manque pas de mot pour nous dénigrer, semble être victime d'un total black-out.
Je ne vais pas m'étendre sur la question car je pense que vous avez compris mon état d'esprit, je vous invite simplement à visionner ceci.


J'ai certe appris avec les années que la vérité se vêt du vêtement que lui donne celui qui la rédige, pouvant ainsi être  travestit sans que l'on ne s'en aperçoive. Mais je sais aussi que ce reportage n'est pas un ramassis de mensonge, et j'ose espérer que ce petit pavé dans la mare vous donnera envie de réagir, de chercher à comprendre, d'élargir vos horizons et de venir en aide à un peuple agonisant par faute de richesse territoriales excessives. Non je ne vais pas vous dire que tous les maux dont souffre mon Afrique chérie sont le fruit de la cupidité coloniale ( même si je le pense très fort ). Je ne m'érige pas en justicière, je souhaite simplement tirer le signal d'alarme et vous demander d'agir à votre niveau avec vos moyens.

Ce n'est pas une séance avec Denzel ou Brad, mais je vous invite tout de même à y consacrer un peu de votre précieux temps. Je reviendrai certainement avec des sujets plus léger dans les prochains jours mais pour le moment, je vous laisse avec mes peines les YGB, ou que vous alliez, sortez couvert... je tiens à vous.

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